Un activateur d'égalité réelle

Repérage des femmes victimes de violences au sein du couple

28/11/22 |  , ,

Repérage des femmes victimes de violences au sein du couple

A l'occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes édition 2022, la HAS publie un nouvel outil d'aide au repérage des violences conjugales à destination des médecins généralistes.

Face au constat que toutes les femmes, quel que soit leur statut socio-économique, leur âge, leur orientation sexuelle, leur état de santé, leur handicap peuvent être concernées, des outils sont mis à disposition des professionnels de santé pour les accompagner dans le repérage des femmes victimes de violences au sein du couple.

Les objectifs de cette recommandation  de la HAS sont  de renforcer l'implication des professionnels de santé dans la lutte contre les violences faites aux femmes pour favoriser le repérage des femmes victimes de violences au sein du couple et faciliter la coordination entre professionnels concernés.

 

 

accéder aux outils ici

 

Cette recommandation de bonne pratique s’adresse à tous les professionnels de santé , plus particulièrement aux professionnels de santé intervenant en premier recours ou dans le cadre de la prévention : médecin généraliste, médecin urgentiste, pédiatre, gynécologue médical, gynécologue obstétricien, psychiatre, médecin du travail, sage-femme, infirmier(e) des urgences et libéral(e), infirmier(e) puériculteur(trice), chirurgien-dentiste, masseur kinésithérapeute tout autant qu’ autres professionnels de santé concernés par le thème et partenaires d'autres secteurs associés aux professionnels de santé : médecin en UMJ, médecin des conseils départementaux et en particulier médecin de PMI et référent protection de l'enfance, psychologue, pharmacien(ne), conseiller(e) conjugal(e) des CPEF, assistant(e) social(e), travailleur social et professionnel travaillant en lien avec les professionnels susnommés (aide-soignant(e), auxiliaire de puériculture, secrétaire médical(e), etc.).

 

Lire le communiqué de la HAS

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